Hello ! 😁 J’espère que photo de la couverture de « Carne » ne vous aura pas arrêté, parce que ce roman de Julia Richard, « délicieusement » mis en scène par les éditions L’Homme Sans Nom, vaut clairement la peine qu’on se penche dessus ! 🍖🥩
Ça ne va pas fort pour Simon, clairement pas, surtout depuis qu’il s’est mis à manger de l’humain ! Et il n’est pas le seul « zombie » du coin 🧟♂️ Mais difficile de concilier vie de famille, vie professionnelle, et faim incontrôlable ! Et quand on en fait une histoire de famille, ça crée toujours un sacré bordel !
Quel roman… particulier ! 😅 Intriguée par sa couverture à la sortie du roman, j’ai vite craqué et peu après l’avoir acheté, je me suis lancée dans ma lecture. Et ça commence très fort ! Par le chapitre -1 😄 oui oui ! Suivi du chapitre -5 ! 😆
Vous l’aurez compris, la mise en chapitres est pour le moins originale 😄 Tout au long de son livre, l’auteure nous balade d’un chapitre à l’autre, multipliant les retours en arrière et saut en avant, perdant totalement le lecteur dans l’histoire de Simon. Et c’est une réussite !
En écrivant son roman de cette manière, l’auteure nous met dans le même état de confusion que Simon, qui ne comprend pas toujours ce qui lui arrive, si ses souvenirs sont réels ou non, et quand les événements se sont produits… ou pas ! 🤯
Alors voilà, si le cannibalisme ne vous arrête pas (enfin… lire sur le sujet hein ! Pas manger quelqu’un ! 😱), et que l’humour très second degré de l’auteure vous tente (un teckel qui s’appelle Wurst… Tout de même ! 😂), alors lancez-vous dans ce roman haut en couleur !