« Gris comme le cœur des indifférents » – Une novella qui laisse des traces… 😔

Gris comme le cœur des indifférents - Pascaline Nolot

Bonjour bonjour 😊 J’essaie de garder le sourire, parce que la novella dont je veux parler aujourd’hui est… difficile aussi bien à lire qu’à chroniquer. Aujourd’hui, je viens vous parler de « Gris comme le cœur des indifférents » de Pascaline Nolot, publié aux éditions Scrineo 😔

« La veille, Lyra, quinze ans, a entendu son père frapper sa mère. Pour les deux femmes, hélas, il s’agissait d’un jour ordinaire. Ou presque. Aujourd’hui, il n’y a plus de coups, plus de cris. Ensemble, elles attendent dans un long couloir d’hôpital. Les pensées de l’adolescente s’emballent, elle ne cesse de songer aux jours précédents… »

Vous l’aurez compris, on parle ici de violences faites aux femmes. Alors si ce sujet est trop pénible à aborder pour vous, je vous invite à aller lire autre chose. Vraiment. Nous nous retrouverons sur d’autres lectures 😌

Si vous êtes toujours là, bienvenue sur cette chronique que j’ai beaucoup de mal à écrire. Pourquoi ? Parce que cette novella (93 pages au compteur) m’a brisé le cœur 💔

J’aime énormément la plume de Pascaline Nolot, même si je l’ai peu lue jusque ici. Et pourtant, quand j’ai eu l’occasion de lire son dernier texte, je n’ai pas hésité, même en sachant que ça ne serait pas une lecture facile, loin de là. En revanche, je ne m’attendais pas à pleurer sur ma liseuse la moitié du temps 😭

Cette histoire, c’est celle de Lyra, celle de sa mère, celle de ses petits frères, mais c’est aussi et surtout celle de beaucoup trop de femmes et d’enfants qui subissent la violence d’un père, d’un conjoint chaque jour. Cette histoire, c’est celle qu’on ne devrait plus lire, c’est celle qu’il faut combattre et dénoncer.

J’ai eu… beaucoup de mal à rester stoïque en lisant. D’ailleurs je l’ai dit : j’ai pleuré sur la moitié du livre. Impossible de rester impassible face à une histoire pareille.

Je n’ai pas les mots… Je ne peux que vous conseiller de lire ce livre, de l’offrir, d’en parler, parce que l’indifférence est peut-être pire que la violence…

🐻🐻🐻🐻🐻💔/5