Il était une fois une méchante reine… mais était-elle si méchante ? Magali Lefebvre nous raconte l’histoire de cette méchante reine dans « Bad Queen », avec la complicité des éditions Noir d’Absinthe 👑🍎
« Miroir, miroir… connaissez-vous son histoire ?
Bien avant qu’elle soit reine ou sorcière, Violaine, guerrière décelant les destins, était loin de se douter que le pouvoir coulant dans ses veines lui vaudrait tant d’attentions. D’abord de la part de cruels étrangers, prêts à l’arracher à sa famille et à sa patrie pour s’approprier ses pouvoirs…
Puis d’un royaume menacé et de sa reine, dont elle deviendrait le dernier espoir… Et enfin de cet homme, l’ennemi honorable dont elle ne pouvait deviner le futur et qui, pourtant, faisait battre son coeur avec tant de force…
Miroir, miroir… préparez-vous à entendre l’histoire de Violaine, la Reine-Sorcière ! »
Quand la maison d’édition m’a proposé de découvrir ce roman, j’ai été tout de suite interpellée par le résumé. Pas forcément très friande de réécritures de conte en général, et par les romances en particulier, je ne sais pas pourquoi, ce livre m’a… appelée. Mais alors, cela voudrait-il dire que j’aurais été envoûtée par Violaine ? 😵💫
J’ai évidemment accepté la proposition de service presse (sinon, je ne serais pas là à parler de ce roman 😅) et, après quelques petites péripéties, le livre est arrivé dans ma Pile À Lire. Il n’y sera pas resté longtemps, et je l’ai lu très rapidement, en 3 petits jours 😄 560 pages en 3 jours, c’est pas mal 😆
J’ai adoré ce roman, dans lequel on plonge très facilement. Violaine est une jeune femme attachante, volontaire, avec pas mal de caractère 😅 Et je l’ai aimée pour ça, pour son côté très « moderne » dans un monde qui ne l’est pas franchement. On est quand même dans un univers de conte !
J’ai adoré suivre Violaine et découvrir la future belle-mère de Blanche-Neige sous un angle… différent de celui qu’on connaît.
J’ai beaucoup aimé la romance également, un « ennemies to lovers » bien amené, cohérent, qui ne tombe pas du ciel 😅 La relation qu’elle développe avec son ennemi est d’ailleurs très belle et j’ai beaucoup aimé cette partie de l’histoire. Me faire aimer ce genre de trope n’était pas gagné, mais vraiment, c’était génial à lire 🥰
Seul petit bémol, j’aurais aimé en apprendre un peu plus sur les « cruels étrangers » dont on ne peut pas dire qu’ils soient sympathiques (mais vraiment !) 😐 Je crois qu’en fait j’aimais tellement ma lecture que j’en voulais encore ! 560 pages, ce n’était pas assez, je ne voulais pas quitter Violaine 😅
Je ne suis pas du genre à encenser un service presse si je ne l’ai pas aimé, j’essaie toujours de rester honnête. Je n’aurais pas forcément découvert ce roman sans ça, et je serais vraiment passée à côté d’un très bon moment de lecture 😶
Je vous conseille ce roman très fortement, surtout si les réécritures de contes trop… « jeunesse » ou « ado » ne vous attirent pas plus que ça, comme pour moi 😅 Vraiment, c’était une très chouette découverte 🥰
🐻🐻🐻🐻,5/5