Hello ! 😄 Un petit Junji Ito, ça vous dit ? Allez, c’est parti pour « Black Paradox », aux éditions Tonkam 😵
« Quatre personnes aux tendances suicidaires se rencontrent sur un site Internet, www.black-paradox.com. Il y a Marceau, une fille qui a peur de son avenir, Taburo, un homme qui voit son double maléfique dans la vie courante et se croit condamné, Peter, un étudiant dans une université technologique qui a créé un robot à son image et qu’il considère meilleur que lui sur bien des points, et Barati, une femme dont le reflet dans le miroir la pousse à mettre fin à ses jours. Ils décident de se retrouver tous les quatre pour en finir, mais sur le trajet, ils croisent leurs doubles dans la même voiture qu’eux… »
Un peu différent des autres Junji Ito que j’ai lu jusqu’à aujourd’hui, et qui regroupaient des histoires autour d’un même thème ou d’un même personnage, « Black Paradox » ne compte que 3 histoires : celle qui donne son nom à l’ouvrage, « La femme langue » (absolument 🤢), et « Le pavillon étrange » (extrêmement courte et… bizarre 😅)
« Black Paradox », la plus longue histoire, se découpe en plusieurs chapitres et raconte une histoire assez complexe autour des thèmes de la vie, de l’après-vie et de tout ce qui tourne autour 🤪
J’en dis volontairement peu, mais c’est aussi assez difficile de résumer un manga qui ne compte que 200 pages 😅
J’ai encore une fois bien apprécié ma lecture et les dessins du mangaka, qui sont parfois vraiment… beurk 🤢😅
C’était une lecture intéressante, avec des thèmes bien amenés. Le côté body-horror sert surtout à mettre en scène des histoires qui parlent principalement de la nature humaine et de ses côtés sombres 👀
« Black Paradox » est, selon moi, une bonne entrée dans le monde de Junji Ito mais est à réserver aux estomacs bien accrochés 😅
🐻🐻🐻🐻/5
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