Hello ! 👋 J’espère que vous n’avez pas peur des chiens, parce que « Cujo » de Stephen King ne risque pas de vous faire changer d’avis… 🐶
« Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, un gamin de dix ans.
Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauve-souris. Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l’approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna – un couple en crise -, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d’épouvante, un cauchemar nommé Cujo… »
Et oui, encore un King 😄 Encore un King que j’avais déjà lu mais dont je ne gardais que peu de souvenirs, si ce n’est que j’avais beaucoup pleuré pour Cujo 😭
Je suis donc retournée dans ce roman, dans une édition différente de celle que j’ai mise en avant plus haut, mais qui a, a priori, la même traduction. J’avais craqué sur la couverture dans une librairie d’occasion, et j’ai choisi de le lire dans cette édition :
Et… ça ne m’avait pas marquée quand je l’avais lu la première fois (il faut dire aussi que j’étais ado 😅), mais la traduction n’est… malheureusement pas très bonne 😕 Certains termes utilisés m’ont un peu perturbée. Pour vous donner un exemple, il est question, à un moment, des « jointures » des pattes de Cujo, pour parler de ses articulations. Ses jointures ? Vraiment ? Cujo est un chien, pas un robot ! 😮💨
L’histoire en elle-même est assez simple : un chien va mettre son museau où il ne faut pas, et ça va mal se finir… Et le roman est tout aussi simple, au final. Des histoires de couples compliquées, une petite ville, un gros chien, et la patte King en prime 😄
Cette fois, je n’ai pas pleuré, mais Cujo m’a encore une fois fait de la peine. Pauvre toutou 🥺 En revanche, j’ai eu plus de mal avec le reste 😶 Les histoires des couples sont assez classiques (elles l’étaient peut-être moins en 1980, quand ce livre est sorti), les femmes mises en avant (comme toujours avec l’auteur), mais leurs réactions parfois assez difficiles à comprendre.
De même, j’ai trouvé que l’histoire était parfois un peu trop lente et j’avais un peu l’impression de ne pas avancer. Le roman fait moins de 400 pages, mais c’est presque trop. J’aurais aimé qu’il se concentre davantage sur Cujo, dont c’est tout de même le titre 😅
Rien de fantastique dans cette histoire, mais quelques scènes particulièrement difficiles, surtout sur la fin. Il vaut mieux en avoir conscience avant de se lancer 😶
Ce n’est pas mon King préféré, loin de là, mais je l’ai tout de même apprécié. Je ne sais pas si la traduction a été retravaillée depuis 1982 – date de mon édition – mais j’espère vraiment, sinon je m’en voudrais de vous le conseiller quand même 😅
🐻🐻🐻/5