
Salut salut ! 😄 Aujourd’hui, je débarque sur votre écran avec une autrice que je ne connaissais pas, Susan Barker, une maison d’édition que je ne connaissais pas, les éditions Dalva, et un roman qu’évidemment, je ne connaissais pas : « L’étreinte des ombres » 👤
« À l’aéroport d’Osaka, deux étrangers, Jake et Mariko, manquent leur avion. Au détour d’un dîner partagé, ils découvrent qu’ils ont tous deux perdu des êtres chers dans des circonstances étrangement semblables, peu après que ces derniers eurent croisé la route d’une femme mystérieuse et diaboliquement séduisante. Cette coïncidence fait naître chez Jake une obsession et il décide de se lancer sur les traces de cette fantomatique inconnue. D’un pays à l’autre se dessine à ses yeux le portrait d’une créature aussi fascinante qu’infernale, laissant dans son sillage des êtres détruits. Aujourd’hui, elle se rapproche d’une nouvelle proie. Reste à savoir si Jake arrivera à la retrouver à temps.
Avec cette œuvre magistrale qui entraîne son lecteur à travers les âges et les continents, Susan Barker crée un univers littéraire aussi obsédant qu’addictif. Au fil des pages, tandis que monte la tension, se présente devant nous le miroir envoûtant des dérives de notre monde. »
Avant de me lancer dans mon avis sur ce roman, j’aimerais vous raconter comment il est arrivé dans mes étagères 😊
Je suis abonnée depuis un certain temps au compte Instagram de la librairie Momie de ma région que j’adore (et à qui j’avais consacré un article), et j’aime bien regarder leurs stories, où sont partagées régulièrement les nouveautés de la librairie. Et un jour, je suis tombée sur ce roman, dont la couverture m’a interpellée. Quelques semaines plus tard, sachant que j’allais passer à la librairie, je voulais acheter le roman, mais… impossible de me souvenir du titre, de l’autrice, ou de la maison d’édition 😳 Par contre, la couverture, je l’avais bien en tête 🤷♀️ Bon, j’avais fait une capture d’écran de la story, donc ça irait, je n’allais pas me pointer comme une fleur devant les libraires en leur demandant un livre « avec une couverture rouge » 😅
Je suis donc partie en quête de cet ouvrage, l’ai trouvé sans problème, et suis repartie avec. Quelques jours plus tard, je me plongeais dedans, pour mon plus grand plaisir 😄
J’ai beaucoup aimé ce roman, qui nous fait voyager à travers les années et les pays, à la poursuite d’une femme mystérieuse qui ne semble jamais vieillir 👀 On y découvre des histoires parfois difficiles, des personnages attachants, des coutumes différentes, mais toujours avec une fin commune : quelqu’un meurt. On comprend vite que quelque chose ne va pas avec cette femme 🤔
On va principalement suivre Jake, qui mène son enquête, mais aussi, en parallèle, cette femme aux milles prénoms, et la tension monte doucement au fur et à mesure qu’on avance dans le récit. Il ne faut pas s’attendre à de l’action toutes les x pages, l’histoire est parfois contemplative, mais découvrir les différents personnages, les proches des victimes de cette femme, était vraiment intéressant à lire. La fin… ne plaira pas à tout le monde, mais je l’ai trouvée personnellement bien amenée. Je l’ai beaucoup aimée, à l’image du reste 😄
Je ne sais pas ce qu’il en est de la plume originale de l’autrice, mais la traduction m’a totalement emportée dans le récit. J’ai ainsi découvert à la fois une nouvelle autrice, mais surtout une nouvelle maison d’édition indépendante que je vais suivre avec attention. Si tous leurs romans sont de cette qualité, ça promet quelques heures de bonnes lectures 👀
J’ai bien conscience que cette chronique est un peu… légère, mais il est difficile de parler de ce roman sans gâcher l’histoire. Je ne peux que vous conseiller de faire comme moi : craquez sur ce livre sans trop en savoir, et savourez 🥰
🐻🐻🐻🐻🐻/5

