« Moi, ce que j’aime, c’est les monstres » 2 – La suite… 🧌

Moi, ce que j'aime, c'est les monstres 2 - Emil Ferris

Coucou ! 😄 Aujourd’hui, je viens vous parler d’un « petit » roman graphique : « Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre Deuxième » d’Emil Ferris, aux éditions Monsieur Toussaint Louverture 🖊

J’ai découvert le style d’Emil Ferris avec le premier tome de cette série en 2024, après l’avoir emprunté à la médiathèque. J’avais été très impressionnée par ce roman graphique presque entièrement dessiné au stylo à bille, avec un talent et un réalisme complètement dingues 😍

Il me fallait ce tome, et la suite ! Et comme on m’a offert le coffret proposé par Monsieur Toussaint Louverture, je me suis fait une petite relecture de ce premier tome, avant d’enchaîner sur la suite, dont je vous glisse le résumé juste en dessous 👇 (si vous ne voulez pas le lire, sautez simplement le paragraphe 😉)

« Karen Reyes, notre petite artiste, doit désormais faire face à une vie nouvelle où tout tremble et vacille, et où même ses quelques certitudes semblent sur le point de voler en éclats. Mais Karen est un être farouche : 1/3 loup-garou, 1/3 détective, 1/3 enflammée. Toute de curiosité, d’imagination et de compassion, elle veut bannir de son existence les tabous et les mensonges, censés la protéger, mais qui ont fini par empoisonner jusqu’à ses rêves. Heureusement que son frère Deeze, artiste contrarié au passé trouble, est là pour la protéger des menaces invisibles qui pèsent sur elle, et ce même s’il est obligé de franchir la ligne rouge. Mais pour combien de temps encore ? Car il est sur le point d’être envoyé au Vietnam. »

Si ce tome n’a pas été le coup de cœur du précédent, j’ai tout de même passé un très très bon moment dans ses pages. D’ailleurs, en y réfléchissant, mon coup de cœur pour le premier tome était en partie du à la découverte des dessins de l’autrice. Non pas que ce soit moins bon dans ce deuxième tome, au contraire ! Mais je savais déjà à quoi m’attendre 🤷‍♀️

Pour autant, comme je le disais, j’ai passé un très bon moment. Parce que, au-delà des dessins, « Moi, ce que j’aime, c’est les monstres » raconte plusieurs histoires particulièrement difficiles. On revient sur le passé de différents personnages, et tous m’ont beaucoup touchée 🥺 

Je préfère ne pas trop entrer dans les détails, mais vraiment, ça vaut le coup de lire ces romans graphiques qui mettent l’humain au centre du discours, et surtout l’amour de l’autre quelles que soient ses différences 🫂 

Les dessins sont toujours aussi beaux et détaillés, toujours impressionnants, et l’histoire de Karen, son frère et ses amis toujours aussi belle (et difficile) à lire. Je suis d’ailleurs très contente que ça ne s’arrête pas là, Emil Ferris travaillant apparemment sur la suite 👀

Je sais qu’il y a peu de chances qu’elle voit cet article, mais au cas où : merci énormément de tout ce travail, de mettre en avant la beauté des « monstres » 🙏 Et merci énormément aussi aux éditions Monsieur Toussaint Louverture de nous proposer des ouvrages aussi magnifiques ❤️

🐻🐻🐻🐻🐻/5