Hello ! Ça va chez vous ? Je viens vous parler de « La fille qui tressait les nuages » ☁️ de Céline Chevet, aux éditions du Chat Noir.
À Saitama-ken, au Japon, Haru enroule les nuages au bout de ses doigts et les tresse en leur donnant d’autres formes. Elle quitte rarement Julian, encore sous le coup de la mort de la sœur de Souichiro, dont il était follement amoureux. Haru lui souffle à l’oreille des soupçons qu’il ne veut pas voir mais qui lui font se poser beaucoup de questions sur cette mort dont il ne garde aucun souvenir…
Roman très apprécié par beaucoup, j’ai voulu tenter. Malheureusement, ça ne l’a pas fait avec moi 😕 Je n’ai pas réussi à entrer dans l’univers de l’auteure et j’ai fini par abandonner à la moitié du livre…
Je n’ai pas accroché du tout avec le style, avec l’histoire, que j’ai trouvée un peu décousue, et encore moins avec les personnages, qui sont selon moi le principal problème. En effet, je n’ai pas réussi à éprouver de sympathie pour les différents protagonistes : Haru est impertinente et indéfinissable, Julian complètement perdu et semble incapable de décider de quoi que ce soit tout seul, et Souichiro… le pire de tous pour moi. Froid, calculateur, ne pense qu’au sexe et aux femmes avec qui il couche ou pourrait coucher… et ces personnages sont âgés de 17 et 18 ans…
J’attendais une histoire sur le deuil chez les adolescents, la maniere d’appréhender le décès d’une personne aimée, et je me suis retrouvée dans une histoire où secrets, esprits séculaires, histoires de fesse se mélangent dans un meli-melo peu compréhensible pour moi.
Arrivée à la moitié du roman, je me suis rendue compte que je n’y prenais aucun plaisir 😔 J’ai donc décidé d’abandonner ma lecture, ce qui m’arrive très rarement 😶
Je ne suis pas sûre que le style de cette auteure me corresponde 🤔