Coucou ! 😄 Comme prévu, je continue ma lecture de la saga « Blackwater » de Michael McDowell, toujours publiée chez Monsieur Toussaint Louverture, avec ce deuxième tome : « La digue » 😊
Si vous avez loupé mon article sur le premier tome, « La crue », vous pouvez le retrouver juste ici 😉
« Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot d’imprévus : main-d’œuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes… Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles. »
À nouveau, l’objet-livre est vraiment magnifique 😍 J’adore !
Et à part ça ? 😅 Et bien j’aime toujours autant 😄 Le rythme est relativement lent, il ne se passe pas réellement grand chose, il faut bien le dire. Une petite scène horrifique tout de même, mais l’histoire semble prendre son temps. Les personnages évoluent chacun à son rythme, certains plus que d’autres, et les clans se dessinent de plus en plus. L’animosité entre Mary-Love et Elinor ne semble pas se calmer, bien au contraire…
J’ai beaucoup aimé aussi ce deuxième tome, malgré son rythme très lent. Je ne sais toujours pas dire pourquoi j’apprécie cette histoire 😂 Une certaine tension, une lourdeur dans l’air, la sensation d’un orage imminent, voilà ce que j’ai ressenti en lisant ce livre 🤔 Il ne se passe pas grand chose, la plupart des personnages n’est pas spécialement attachante, certains (enfin, surtout Mary-Love) donnent même envie de les secouer un bon coup 😆 Et pourtant, on tourne les pages sans s’en rendre compte !
La vie continue à Perdido, mais je ne sais pas pourquoi, je sens bien que cette digue, qui a causé bien des soucis, n’a pas fini de faire parler d’elle 🤔 Rendez-vous dans 15 jours pour la suite 😜
🐻🐻🐻🐻🐻/5