Kon’nichiwa ! 😁 Parmi les mangas horrifiques que je voulais découvrir, il y avait « La femme-serpent » de Kazuo Umezo, aux éditions Le Lézard Noir. Voilà qui est fait 🐍
« Dans ce recueil de trois histoires courtes reliées entre elles, Kazuo Umezu met en scène la terrifiante femme-serpent. Si cette créature imaginaire peuple la mythologie et les légendes folkloriques aux quatre coins du monde, la femme-serpent d’Umezu est une belle femme avide de vengeance, capable d’hypnotiser ses victimes et de manipuler son entourage. C’est ainsi qu’elle va s’immiscer dans la vie de la petite Yumiko, dont le quotidien sera bouleversé… »
Si, au premier abord, ce résumé donne envie, je dois dire qu’après lecture, j’ai un avis plutôt mitigé sur ce manga 😶
Tout d’abord, les dessins. Ces histoires ont été publiées dans une revue « pour filles » (Shojō Friend) entre 1965 et 1966, et… ça se voit 😅 Les dessins sont très simples dans l’ensemble, et les personnages difficilement identifiables, surtout concernant les fillettes mises en scène. Elles se ressemblent toutes et s’il n’y avait pas eu les vêtements, je ne suis pas sûre que je ne les aurais pas confondues 😶 En revanche, les scènes plus horrifiques, mettant en scène la fameuse femme-serpent, relèvent le niveau. Elles sont bien plus réussie à mon goût, bien plus détaillées, et bien plus intéressantes pour le coup 😅
Les histoires sont plutôt sympathiques, mais peut-être un peu répétitives. Le lien entre chacune est relativement facile à faire, les deux premières se suivent, la troisième revient dans le passé et servant de préquel à la première. Mais c’est à chaque fois le même genre de scénario : la femme-serpent attaque la fillette pour se venger 😶
Je ne suis pas sûre d’avoir choisi le bon manga pour découvrir cet auteur, et j’en tenterai peut-être un autre plus tard. Parfois, c’est juste un rendez-vous manqué 🤷♀️
🐻🐻🐻/5
