« La constance du prédateur » – Au revoir Ludivine

Salut ! Aujourd’hui, je termine une saga et je dis au revoir à Ludivine Vancker avec « La constance du prédateur » de Maxime Chattam

Le résumé ne spoile pas particulièrement les tomes précédents, alors allons-y

« Ludivine Vancker enquête dans une mine abandonnée du nord-est de la France, où des cadavres vieux de plusieurs dizaines d’années ont été découverts.

Pourtant, l’ADN du meurtrier potentiel découvert sur place est identique à celui d’une affaire récente. La mise au jour d’un troisième charnier marqué du même ADN, datant cette fois des années 1920, complique encore ses investigations. »

Après « La conjuration primitive« , très sympa, puis « La patience du diable« , pas mal, « L’appel du néant« , un peu décevant, je craignais un peu ce quatrième et dernier tome

Et… Même si moins décevant que le précédent, « La constance du prédateur » n’aura pas été un franc succès pour moi

L’enquête est intéressante, avec des scènes de crime originales, mais je ne sais pas… soit je me lasse des thrillers de ce genre, soit c’est à cause de Ludivine Vancker

Parce que bon, Ludivine est intelligente, Ludivine est belle (ça va, on a compris, ses boucles blondes, toussatoussa ), mais Ludivine est surtout assez autocentrée et ses réflexions sur ses compétences, ses capacités, sa vie privée… sont omniprésentes, et j’en avais un peu marre d’être dans sa tête

Comme je le disais, l’enquête est intéressante, et heureusement, mais les personnages secondaires, qu’on suit pourtant depuis le premier tome, sont assez peu présents ici. Mais enfin, pourquoi ? Ça ne m’a pas aidée à apprécier Ludivine, qui continue à prendre des décisions irréfléchies et à agir de façon inconsidérées…

Je ne sais que penser de cette saga. J’apprécie beaucoup le style de l’auteur, mais j’ai l’impression de lire un peu toujours la même chose, en tout cas avec cette saga. À chaque tome ses tueurs en série, à se demander s’il n’y a plus que ça en France C’est un peu trop, et je pense que j’ai besoin de lire autre chose, d’autres enquêtes, d’autres problématiques.

Je garde en tête ce point positif pour ma PAL : une saga de moins à lire !

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