Hey ! Coucou vous ! 😄 Ça va bien ? Le temps passe… ⌛ c’est le moins qu’on puisse dire ! Il est donc largement l’heure pour moi de venir vous parler de « La complainte des ombres » de Florian Paret, duologie parue aux éditions L’Alchimiste 🕰
« Descendant d’une longue lignée de maîtres horlogers, le jeune Elvin Rivière semble tout indiqué pour reprendre l’affaire familiale. Pourtant, derrière ce métier en apparence banal, son père exerce une activité bien plus obscure dont Elvin semble être le seul à ignorer la nature. Pourquoi tous les habitants de Vilelune semblent-ils convaincus qu’Émeric Rivière est un sorcier ? À quels sombres desseins s’adonne-t-il, chaque soir, derrière la porte close de son atelier ?
Rejeté de tous en raison des mystères qui entourent son père, le fils de l’horloger vit une enfance solitaire jusqu’à sa rencontre avec un garçon tout aussi énigmatique que lui, accompagné d’une ombre étrange qui semble animée d’une volonté propre…
Cependant, tandis qu’Elvin consume ses plus belles années, il ignore qu’une sombre réalité viendra bientôt bouleverser son existence. En effet, il pourrait bien devenir l’héritier d’un savoir ancestral inestimable pour lequel d’aucuns seraient prêts à tuer. Que peut alors faire Elvin quand une silhouette inquiétante commence à suivre sa route et que se dessinent en lui les premiers symptômes de l’Obsession ? Et surtout, que pourra-t-il faire le jour où la mort viendra frapper à sa porte ? »
Voilà une duologie originale que j’ai beaucoup aimé lire, même si la slow fantasy n’est pas forcément mon sous-genre préféré 😅 En effet, l’histoire prend son temps (sans vouloir faire de mauvais jeu de mot 🤭) mais vaut la peine. L’auteur sait où il veut nous amener, et le fait avec brio.
Elvin n’est pas forcément un personnage que je qualifierais d’attachant, je l’ai même souvent trouvé agaçant 🙄 Il faut bien le dire, c’est un personnage assez égoïste, qui se ment à lui-même en ne voulant pas admettre qu’il a un problème. Sa peur de mourir prend toute la place, et il en oublie que ses actes ont souvent pour conséquences de faire souffrir ceux qu’il aime.
Sa peur de la mort et de ce qu’il y a (ou pas) après prend toute la place et devient obsessionnelle. Il ne pense plus qu’à une chose : s’en préserver, et donc cherche l’immortalité, sans se demander ce que cela implique…
Sa quête des « mots de pouvoir » nous amène finalement nous aussi à réfléchir sur notre manière de vivre notre vie, sur ce que nous faisons du temps que nous avons. À sa place, que ferions-nous ?
Rien que pour ça, je suis très contente d’avoir eu l’occasion de lire ces romans 🤗
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