Et voilà, le Pumpkin Autumn Challenge 2022 est terminé 🥺 Que de moments passés avec de bons, voire très bons romans ! 🥰
Comme l’an passé, j’ai lu énormément, et j’ai préféré diviser mon bilan. Ainsi, 4 articles ont été écrits. 🖋
Ici, je reviens sur mes lectures de la catégorie « Automne frissonnant » 😨 Pour les autres catégories, il suffit de cliquer sur les noms 😉 « Automne de l’étrange » 🥸 « Automne douceur de vivre » 🍂 et « Automne rayonnant » 💖
Bon, je sais, c’était un peu facile, mais en lisant le mot-clé « exorcisme », j’ai immédiatement pensé au film « L’exorciste », devenu un classique du genre, et surtout au roman de William Peter Blatty qui en est à l’origine 😄
« Pour Chris MacNeil et sa fille Regan, une adolescente de quatorze ans, la vie s’écoule heureuse et aisée dans un quartier bourgeois de Washington. Et puis, un jour, des bruits étranges résonnent dans la calme demeure, des objets disparaissent, des meubles sont déplacés. Quant à Regan, d’étranges métamorphoses la défigurent, des mots obscènes jaillissent de sa bouche. Tandis que peu à peu la personnalité de l’enfant se disloque face aux médecins impuissants, la police est saisie d’horreur devant l’atroce vérité. Damien Karras, prêtre et psychiatre, sera-t-il le seul recours ? »
Évidemment, je ne pouvais pas lire ce livre sans lui consacrer un article 😅 Alors pour plus de détails, c’est par ici que ça se passe 😜 Mais je peux déjà dire que ça a été une très très bonne lecture 😄
🐻🐻🐻🐻,5/5
Deuxième livre lu pour cette sous-catégorie : « Fin de ronde », le troisième tome de la trilogie « Mr Mercedes » d’un de mes auteurs préférés : Stephen King 🥰 Et vu ce qui se passe dans ce roman, j’aurais difficilement pu mieux choisir ! Il était parfait 😄
« Dans la chambre 217 de l’hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau. Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi… »
Évidemment, au vu de mon amour pour les romans de cet auteur (à qui j’ai d’ailleurs consacré un tag, à retrouver ici), j’ai consacré un article à ce livre, et à ceux qui l’ont précédé dans la trilogie, que je vous conseille d’ailleurs 😄
J’ai adoré ce tome, vraiment addictif 🥰 Pour les petites infos supplémentaires, c’est par ici que ça se passe 😜
🐻🐻🐻🐻🐻/5
Bon, personnellement, je ne trouve pas que que le visage en couverture soit si sinistre, mais j’avais très envie de sortir enfin cet ouvrage de ma Pile À Lire et, ENFIN, découvrir les fameuses illustrations de Benjamin Lacombe dans l’un de ses livres 😄 Alors, voilà 😜
« Fasciné par le Japon – son art, sa culture et ses paysages – depuis ses plus tendres années, Benjamin Lacombe a souhaité illustrer Fantômes du Japon, un recueil d’histoires imprégnées du folklore japonais, recueillies par Lafcadio Hearn. Cet écrivain irlandais a été l’un des premiers occidentaux à obtenir la nationalité japonaise. Il est connu pour avoir sillonné les provinces de ce pays, recueilli et mis par écrit les contes et légendes de fantômes japonais. Pour cet ouvrage, Benjamin a choisi d’illustrer un panel de bestiaire large et diversifié ; une diversité qu’il était essentiel pour lui de laisser transparaître dans un traitement graphique différent pour chaque histoire. En fin de livre, la création de jeux, inspirés de jeux anciens, offre la possibilité de raconter sa propre légende de yôkai. Un hommage de toute splendeur, au ton juste. »
Mais quelle beauté ! Quel plaisir d’avoir découvert cet ouvrage ! 😍 Évidemment, j’en ai parlé dans un article (juste ici), mais que dire de plus ? 😅
Vraiment un livre magnifique que je suis très contente d’avoir dans ma bibliothèque 🥰
🐻🐻🐻🐻🐻/5
Question « visage sinistre », je pense qu’on est servi 😅
« Un portrait de douze personnages au visage en décomposition… La toile est l’œuvre d’un certain Waldegrave, ami d’Oscar Wilde et passionné d’occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre. Alors pourquoi la mystérieuse Cordelia Gray veut-elle à tout prix s’en emparer ? Quel est le secret du portrait ? Qui sont ces douze personnages ? Vincent Pearson, l’actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette œuvre démoniaque et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent depuis quelques mois la Nouvelle-Angleterre… »
Très fortement inspiré du « Portrait de Dorian Gray » d’Oscar Wilde, ce roman est encore plus glauque et « cracra » 😅 J’avais déjà beaucoup apprécié l’original, et j’étais plutôt curieuse de voir ce que Masterton en avait fait. Je n’ai pas été déçue 😆
Et bien sûr, lui aussi a eu droit à son article, que vous pouvez retrouver ici 😄
🐻🐻🐻🐻/5
Un Pumpkin Autumn Challenge sans manga, ce n’est pas possible 😅 Je voulais absolument lire celui-ci, voilà qui est fait 😄 Je parle bien sûr du magnifique « Jizo », de Mato et Mr Tan, publié chez Glénat 🥰
« Aki ne retrouve plus le chemin pour rentrer chez lui. Tout le monde semble indifférent à cet enfant perdu. Tous… sauf Jizo, un étrange garçon sorti de nulle part. Est-ce un enfant des rues ? Va-t-il vraiment le ramener chez lui ? A-t-il raison de le suivre dans le temple où il l’emmène ? Malgré son grand sourire, Aki peine à faire confiance à son nouvel ami. Surtout qu’une effroyable sorcière chasse les enfants à la tombée de la nuit… »
Si vous avez vu mon article (ici), vous savez déjà tout : c’est un gros coup de cœur ! ❤️ Je suis très contente d’avoir découvert cette histoire, et j’ai hâte d’en lire d’autres de ces deux artistes talentueux 🥰
🐻🐻🐻🐻🐻❤️/5
J’avais entendu parler de ce titre, et surtout de l’anime qui en a été tiré, « Le tombeau des lucioles ». Avant de regarder l’anime (ce que je n’ai toujours pas fait…), je voulais lire le texte d’origine 🎥 Et puis question « drame historique », on pourrait difficilement faire mieux, n’est-ce pas ?
Voilà ce que nous dit la quatrième de couverture :
« Avant de devenir le célèbre dessin animé de Takahata Isao, La Tombe des lucioles est une oeuvre magnifique et poignante de l’écrivain Nosaka Akiyuki. L’histoire d’un frère et d’une soeur qui s’aiment et vagabondent dans l’enfer des incendies tandis que la guerre fait rage ; une histoire qui est celle que Nosaka vécut lui-même, âgé de quatorze ans, en juin 1945.
Mais Nosaka, c’est aussi un style inimitable, une écriture luxuriante que l’on reconnaît d’abord à son brassage de toutes sortes de voix et de langues. Une prose étonnante, ample, longue, qui réussit à concentrer en une seule phrase des couleurs, odeurs et dialogues, secouée de mots d’argot, d’expressions crues, d’images quasi insoutenables, qui trouvent ici une beauté poétique et nouvelle. »
Bon ! Et bien… voilà 😶 Comme le dit le « résumé » : « une prose […] longue », je pense que ça convient en effet pour décrire les 3 seules pages que j’ai lues. Oui, 3 pages, dans lesquelles on trouve très exactement 3 phrases… remplies de descriptions… Tout ce que je déteste en fait 🤢 Impossible pour moi de continuer, je préfère me tourner vers l’anime 😅
Et voilà pour la première partie du bilan ! De très bonnes lectures pour ce menu 🥰 Pour les autres menus, c’est dans les liens en haut de l’article que ça se passe 😜
