Coucou ! 😄 À la fin de mon article sur le tome 2 de la saga d’Antoine Lencou, « Le bureau des défunts – À corps perdu » (toujours aux éditions L’Alchimiste 😉), j’avais prévenu que j’allais vite revenir avec la suite… Parlons donc un peu de ce troisième tome : « Ligatures » 😊
« Alors qu’il était directeur du service des Suicidés, Roïn Venkoo a détruit l’existence légale de Syscom.dth, la plateforme informatique destinée à recevoir l’âme des morts.
La dirigeante des Défunts veut se venger de lui en le faisant disparaître sans espoir de renaissance. Engagé pour accomplir la besogne, son agent monte un plan machiavélique et l’expédie dans un lieu inconnu et dévasté. Roïn atterrit là-bas, inconscient et gravement blessé. Loin de chez lui, meurtri, sans ses automates ni aucun moyen de communiquer avec eux, Roïn sombre.
La dirigeante des Défunts consommera-t-elle sa vengeance jusqu’au bout ? Quel est cet endroit hors du temps où se trouve Venkoo ? Parviendra-t-il à rentrer chez lui ? Et surtout, le désirera-t-il encore ? »
Et bien et bien… voilà un tome quelque peu différent des précédents 🤔 En effet, on retrouve toujours nos personnages, mais la situation a bien changé. Roïn évolue énormément depuis le début de la saga, et c’est aussi bien 😅
Mais… j’ai été moins « hypée » par ce tome en comparaison des précédents 🥺 L’histoire est sympa, la plume de l’auteur toujours très bonne, et Coussin Droit clairement et indubitablement mon personnage préféré. En revanche, j’ai un peu moins accroché avec l’univers dans lequel atterrit Roïn 😶
Je vais tout de même me plonger (rapidement, j’espère) dans le quatrième et dernier tome, parce que… je veux savoir comment ça va finir ! 😆
🐻🐻🐻,5/5
