« Le bureau des défunts 2 – À corps perdu » – Qui veut la peau de Roïn Venko ?…

Le bureau des défunts 2 - À corps perdu (Antoine Lencou)

Coucou ! 😄 Un de mes objectifs de cette année étant d’avancer (et de terminer quand c’est possible) mes sagas en cours, j’ai donc continué avec la série de Antoine Lencou : « Le bureau des défunts », dont « À corps perdu » est le deuxième tome, toujours publié aux éditions L’Alchimiste 💀

« Désormais directeur du service des Suicidés au ministère des Défunts, Roïn Venkoo se voit confier une enquête visant Syscom.dth, l’interface virtuelle où les morts, dépourvus d’enveloppe charnelle, poursuivent leur vie… sans l’avoir demandé. Conçu pour y recevoir les personnes décédées que la médecine traumatologique d’autrefois était incapable de faire renaître dans un nouveau corps, ce microcosme improbable est le théâtre d’un étrange problème, de taille  : les morts se suicident en masse.
Aidé de ses automates, Roïn Venkoo se rend dans Syscom.dth, mais se retrouve piégé dans ce monde numérique par une poignée de révoltés, morts plusieurs siècles auparavant. Ils ne rêvent que d’une chose : se venger de la société moderne.
Quelle est cette étrange machination des morts ? Roïn parviendra-t-il à y mettre fin  ? Encore faudrait-il qu’il récupère son corps… »

Après ma très bonne lecture du premier tome, « Votre mort nous appartient », je voulais bien sûr continuer avec les tomes suivants. J’ai donc retrouvé avec plaisir Roïn Venkoo, un peu moins… flemmard que dans le premier tome 😅 Mais j’ai surtout retrouvé le super automate Coussin Droit, qui a toujours plus d’un tour dans son rembourrage ! 😄

Suite presque directe au tome précédent (à quelques années près), on replonge très facilement dans l’histoire, dans ce futur aseptisé. Le récit se complexifie, ce qui est une bonne chose, mais reste compréhensible, ce qui est encore mieux 😄

J’ai toujours une nette préférence pour Coussin Droit, aussi agaçant puisse-t-il parfois se montrer 🙄 Il semble considérer Roïn comme un humain pas très évolué, mais pour autant ne le laisse jamais tomber, y compris quand celui-ci se retrouve la cible d’une vengeance qui cache un lourd secret.

J’ai beaucoup aimé revenir dans cet univers original où chaque élément du mobilier est « vivant », ce qui amène toujours à des discussions parfois très drôles.

C’était un plaisir, et j’ai enchaîné très rapidement avec le tome suivant, « Ligatures », dont je vous vais vite revenir vous parler 😊

🐻🐻🐻🐻🐻/5