Salut ! 👋 Aujourd’hui, parlons du troisième roman d’un auteur dont j’apprécie chacune de mes lectures, parlons de Stuart Turton et son « Dernier meurtre au bout du monde », aux éditions Sonatine 🏝
« En dehors de l’île, il n’y a rien. Plus âme qui vive. Un brouillard a envahi la Terre il y a bien longtemps, semant la mort sur son passage.
Sur l’île, la vie est idyllique. La paix et l’harmonie règnent chez les cent vingt-deux habitants, qui vivent de la pêche et de l’élevage.
Jusqu’au jour où l’un d’eux est retrouvé assassiné.
Pire encore, il se pourrait que ce premier meurtre commis sur l’île soit aussi le dernier. Car, au même moment, le système de sécurité qui protège les lieux du brouillard s’est arrêté.
S’ils veulent sauver de l’extinction ce qui reste de l’humanité, les habitants doivent maintenant découvrir le coupable. Et il leur reste cent sept heures avant qu’il ne soit trop tard. »
J’ai découvert Stuart Turton une première fois en audio, avec « Les sept morts d’Evelyn Hardcastle », que j’ai tellement aimé que je l’ai racheté en format papier et que j’ai relu 😄 Quand « L’étrange traversée du Saardam » est sortie en poche, je me suis jetée dessus, et ça a été également une très bonne lecture 😄 Alors forcément, quand je suis tombée sur ce dernier roman en service presse sur Netgalley, j’ai sauté sur l’occasion, je l’ai demandé à la maison d’édition, qui a accepté de me l’envoyer, et je l’en remercie beaucoup 🥰
Stuart Turton est un auteur qui divise. Soit on aime, soit on déteste 😶 Je pense que c’est clair, je fais partie de ceux qui aiment 😄 Mais je me méfie de mes attentes, j’avais un peu peur d’être déçue. Ça arrive parfois, mais pas cette fois 🥰
Dans ce roman, l’auteur nous emmène dans un thriller post-apo. Un étrange brouillard s’est levé sur le monde, ne laissant que des cadavres derrière lui. Sur une petite île, quelques survivants. Et la population est… originale, composée d’une centaine de villageois dirigés par trois « anciens ». Son originalité réside dans… non, je ne vais rien dire, le mieux est de le découvrir en lisant le roman 😜
J’ai beaucoup aimé les personnages, et Emory en particulier, villageoise un peu à part, qui se pose énormément de questions. D’ailleurs, que ce soit Emory ou les autres personnages, je les ai trouvés très bien construits, avec une psychologie finement menée et des relations complexes. L’enquête qui est menée tout au long de ce roman montre d’ailleurs bien la complexité de certains liens, et ce qui se cache derrière les apparences.
Le rythme est très bon, les chapitres assez courts, et l’histoire se déroule page après page sans qu’on s’en rende vraiment compte. D’ailleurs, plus j’avançais dans ma lecture, plus j’avais de mal à reposer ma liseuse 😅 J’ai dévoré les dernières pages en apnée (enfin, quand même pas, mais presque 😆), et j’ai adoré la fin. Même si je m’attendais à certains éléments, je n’ai pas été déçue du dénouement, très juste, très « à sa place », d’après moi.
C’est encore une fois une très très bonne lecture pour moi avec un roman de cet auteur que je compte bien continuer à lire quoi qu’il écrive. Et vivement le prochain ! 😄
🐻🐻🐻🐻🐻/5
